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Tous les articles postés par jfmathieu@epe-asso.org

ZEN 2050 – Imaginer et construire une France neutre en carbone

Couv ZEN 2050 - MAI 2019

 Disponible en anglais

L’étude ZEN 2050 est une exploration, par un groupe d’entreprises de tous les secteurs, de la faisabilité de la neutralité carbone de la France en 2050, au sens de l’équilibre entre les émissions du territoire français métropolitain et les absorptions de ses puits de carbone.

C’est une étude ambitieuse et originale car elle intègre les dimensions physiques, techniques, économiques et sociologiques de façon cohérente et plausible. Ce n’est donc ni une prévision, ni un engagement d’entreprises, ni une prescription normative. Elle se conclut par une proposition faite par ces entreprises aux autres composantes de la société, grand public, pouvoirs publics et acteurs économiques, et une invitation à définir ensemble des actions pour engager la transformation :

  • Atteindre la neutralité carbone en 2050 est possible ; cela nécessite des changements sans précédent de nos modes de vie comme de nos usages des énergies et technologies pour réduire nos émissions.
  • Cette neutralité est compatible avec des modes de vie diversifiés et confortables ainsi qu’avec la croissance économique et la création d’emplois.
  • Elle est réalisable, si tous les acteurs, pouvoirs publics, entreprises et citoyens, l’acceptent et décident ensemble d’engager au plus tôt la transformation.

 

 

 

 

Les indicateurs de l’économie circulaire pour les entreprises

Couv indicateurs_economie_circulaire_entreprises

Selon le Programme des Nations unies pour l’environnement, la consommation globale de ressources (énergies fossiles, biomasse, minéraux et métaux) pourrait plus que doubler entre 2015 et 2050, mettant sous très forte pression les capacités planétaires, que ce soit par l’épuisement des ressources fossiles, naturelles ou renouvelables ou par les quantités de déchets, des rejets de gaz à effet de serre, d’eau polluée ou de déchets solides. Le modèle économique linéaire, notre modèle dominant, consistant à prélever, produire, distribuer, consommer et jeter, met en danger la stabilité du climat et de la nature et, in fine, le développement pérenne de nos sociétés.

Face à ce constat, l’économie circulaire consiste en de nouveaux modèles visant à améliorer la gestion des ressources : il s’agit d’utiliser et réutiliser au mieux, réduisant ainsi la production de déchets et les besoins en matières premières extraites. Le développement de l’économie circulaire est aujourd’hui fortement encouragé par un nombre croissant de gouvernements qui s’engagent dans cette voie : la Chine, le Japon, l’Union européenne avec l’adoption du « Paquet Économie Circulaire » et la France, qui a publié en 2018 une Feuille de Route pour l’Economie Circulaire (FREC).

De leur côté, les entreprises sont de plus en plus nombreuses à explorer de nouveaux modèles d’affaires intégrant les principes de l’économie circulaire, porteurs d’opportunités d’innovation, de différenciation concurrentielle et de gains économiques. Pour piloter leurs démarches et leurs stratégies, elles ont un besoin croissant d’indicateurs pour mesurer leur degré de circularité et ses effets sur l’environnement. En effet, elles sont confrontées à de nombreuses questions. Quelles actions d’économie circulaire privilégier, quelle priorité leur accorder ? Comment s’assurer de la réelle valeur environnementale de ces initiatives ? Sur quels outils et référentiels fonder ces démarches ? Quels indicateurs choisir et comment fixer des objectifs ?

 

 

ABC d’eau – avril 2018

Couv ABC d'Eau-2018-VF

 

L’environnement dans le dialogue avec les consommateurs

Couv l-environnement-dans-le-dialogue-avec-les-consommateurs

Émissions évitées : les entreprises évaluent leurs solutions pour le climat

Couv emissions-evitees

Les entreprises intègrent de plus en plus les enjeux climatiques dans leurs stratégies. Au-delà de la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre, elles contribuent positivement à la transition énergétique en proposant des solutions bas-carbone : des produits, services, projets ou investissements qui permettent à leurs clients de réduire leurs propres émissions de gaz à effet de serre.

L’évaluation des émissions directes et indirectes des entreprises a fortement progressé ces dernières années. Elle permet aux parties prenantes de l’entreprise de mieux connaître ses émissions de gaz à effet de serre et à l’entreprise de les réduire. Mais ces bilans d’émissions ne traduisent pas l’intérêt des solutions fournies par l’entreprise. Calculer et communiquer les émissions évitées par les solutions qu’elle propose permet à l’entreprise de documenter sa contribution à la réduction d’émissions.

Les émissions évitées permettent d’abord à l’entreprise de se positionner comme un acteur qui contribue positivement à la lutte contre le changement climatique. L’entreprise complète son reporting climat au-delà de ses impacts pour l’élargir à son influence sur d’autres acteurs, et en particulier ses clients.

Cette information permet aux investisseurs, actionnaires et assureurs de mieux comprendre comment l’entreprise intègre la question du climat. Ils y sont de plus en plus attentifs et attendent des acteurs économiques qu’ils se projettent vers un avenir décarboné.

Pour les clients, la connaissance des émissions évitées par leurs décisions permet d’intégrer le changement climatique dans leurs critères d’achat et dans leurs choix d’investissement. Elles sont un outil utile pour comparer des offres, à condition que les émissions évitées soient calculées avec des méthodes semblables.

Cependant, évaluer les émissions évitées et communiquer sur ce sujet peut présenter des risques. En l’absence d’une méthodologie robuste et partagée, les résultats présentés par les entreprises peuvent paraître imprécis et difficilement comparables, voire trop optimistes.

Les entreprises d’EpE ont donc souhaité élaborer des lignes directrices claires et partagées pour pouvoir, quand elles le jugent utile, estimer et communiquer les émissions que permettent d’éviter leurs solutions.

Le présent document vise à donner plus de rigueur, de cohérence et de transparence sur ce sujet. D’abord, il définit de la manière la plus claire possible les émissions évitées. Ensuite, il propose des recommandations élaborées par la collectivité des membres pour le calcul et la communication des émissions évitées, issues des retours d’expérience et des travaux menés par les entreprises membres d’Entreprises pour l’Environnement.

Ces recommandations concernent à la fois l’évaluation et la communication des émissions évitées. Ce travail est un début, les années à venir permettront d’affiner les méthodes au fur et à mesure de l’expérience, et des réactions des marchés financiers et des clients à ces informations.

 

200113 – EDF + TOTAL/RETIA

  • Coûts et bénéfices santé de la rénovation énergétique en France, par le Dr Véronique EZRATTY, Direction Santé Sécurité et Performance au Travail, Service d’études médicales, EDF
  • La prise en compte des attentes des parties prenantes dans la gestion des passifs environnementaux, par Marc BOUSSEMART, responsable du département Gestion des Passifs Environnementaux, TOTAL/RETIA

 

191119 – Saint-Gobain + Marsh + CVT AllEnvi

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190917 – BAYER + CREDOC + OSE

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190514 – SUEZ + MICHELIN + BASF + JONES DAY

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190319 – BAILIWICK + LA POSTE

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